Myriam Largilliere parapsychologue

La science n’explique pas tout, et il est normal de douter, d’avoir peur. Il serait malhonnête de ne pas avouer que j’ai eu moi aussi des moments de doute. Incertitudes heureusement vite balayées d’un revers de main lors de certaines de mes consultations. Comment puis-je connaître le surnom que la grand-mère de Clara lui donnait en étant enfant ? Comment puis-je connaître le gâteau préféré qu’elle lui préparait affectueusement? Les défunts nous guident, essayent d’aider leurs proches. Je vois une petite fille sur les genoux d’une gentille dame. « Courage, lui dit-elle, ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Dans quelques mois, tout ira mieux». 
Je ne choisis pas ce que je vois. Je ne suis qu’une intermédiaire entre ici et là-haut. J’essaye juste d’être bienveillante, de mettre sur une voie si vous êtes dans le brouillard, de mettre en garde s’il y a lieu.

Parler de transcommunication avec les défunts doit également en effrayer plus d’un. Quoi qu’il en soit, c’est un don. D’où me vient-il? Pourquoi moi ? ... Je ne sais pas. J’accepte néanmoins volontiers ce "cadeau du ciel".
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